Partie adverse à la langue perverse
déversent en averses des cris qui bouleversent
Tant de mensonges qui me rongent
Et me plongent dans un songe
Par tyrannie cet ex avide au cortex perfide
Me laisse un gouffre où lasse, je souffre
Marre de ce cauchemar au trois vantards
Je sors de ma torpeur comme un voleur de bonheur
Partie de lui, partie de moi, je te vois lui, je te vois moi
Tu cries je ris, tu pleurs je meurs
Dans l’excès bouillonnante tu changes d’humeur
Tu grandies, tu muries, rien de garantit mais donne envie
Parti pris pour elle, je prie pour ma parcelle
Comme ta voix qui érailles, de sa voie tu dérailles
Tu dévies de ta vie sans envie à laquelle te convie
Du potentiel plein d’étoiles, si du ciel tu lèves le voile
Partie vers ton père pervers qui joue l’avé et le pater
Ce papa n’était pas là, quand tu n’étais pas son appât
Pendant l’instant tu surjoues Prévert, seule dans ton pré pas si vert
Mais, Il n’y a pas d’aller sans retour, à cet arrêt sans amour
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